PAR-DELÀ L'ÉTERNITÉ
Vivez une histoire d'amour qui traversa les âges et transcenda le temps.
Ressentez les plus hauts sommets de l'amour et les abysses des ruptures.
D'ère en ère, une mission au déclin des grandes Civilisations.
De vie en vie, un seul but : se retrouver et s'unir pour toujours.
D'émotions en sensations, un seul objectif : guérir de son passé.
Des passions torrides et déchirantes, des promesses et des pactes secrets.
Des plans derrière les plans, des alliances éternelles…
Ce n'est pas un livre…ni un roman, ni une fiction, ni mes mémoires.
C'est le moyen qu'a trouvé mon cœur pour continuer d'espérer… Par-delà l'Éternité.
Dédié à celle que j’aime par-delà l'Éternité.
Ressentez les plus hauts sommets de l'amour et les abysses des ruptures.
D'ère en ère, une mission au déclin des grandes Civilisations.
De vie en vie, un seul but : se retrouver et s'unir pour toujours.
D'émotions en sensations, un seul objectif : guérir de son passé.
Des passions torrides et déchirantes, des promesses et des pactes secrets.
Des plans derrière les plans, des alliances éternelles…
Ce n'est pas un livre…ni un roman, ni une fiction, ni mes mémoires.
C'est le moyen qu'a trouvé mon cœur pour continuer d'espérer… Par-delà l'Éternité.
Dédié à celle que j’aime par-delà l'Éternité.
Comment résumer l'Amour en une seule phrase?
On ne saurait par quel bout commencer. La vastitude de cette émotion suprême suggère une éternité pour l'appréhender et une autre pour la vivre pleinement. En soit, cette histoire est une parcelle d'éternité, un sentier vers l'Univers : l'Uni vers l'Uni vers l'Uni… Une boucle spiralée sans fin où tout est lié à tout.
Comment résumer l'Éternité en un seul mot?
C'est bien plus qu'un simple mot, bien plus que tout ce qu'un univers de mots ne saurait suggérer. C'est plutôt cet espace infini entre deux mots où tout est rendu possible, où tout reste à écrire.
Comment est né ce livre?
Ce livre n'aurait pu voir le jour, si ce n'est de la nuit. Il a été mis au monde dans la chambre de mes visions intérieures. Bien avant l'aube, durant 280 jours, je fus inondé d'images, d'émotions et de sensations aussi réelles qu'insensées qui me permirent d'accoucher de moi-même. Ainsi est né ce livre.
Quand cette langue de Feu s'est mise à brûler en moi, je ne faisais plus qu'écrire des mots. Je m'écrivais à moi-même chaque jour, lettre par lettre. L'émotion a été le principal vecteur de mon inspiration. Rien n'a été créé ou inventé; tout a été ressenti au plus profond de chacune des cellules de mon être. En cela, cette histoire se veut le sang de mes émotions que ma plume a cherché à canaliser et à épancher sur papier afin d'en recueillir toute l'essence et l'intensité de sa vibration.
Processus d’écriture
Toutes les pages que vous lirez ont été écrites, une ligne à la fois, sans jamais savoir ce que contiendrait la ligne suivante. Dans ce processus d'écriture spontanée, aucune planification calculée, aucune préméditation ou orchestration n'a été nécessaire pour arriver à concevoir une histoire qui a son sens propre. Tout coulait de source, sans que j'aie à intervenir, soit pour en changer le cours ou en modifier le débit. Je ne faisais que puiser l'eau inspirante à la fontaine de mes visions et de mon propre quotidien.
Tous les événements et les rencontres vécus pendant le processus d'écriture semblaient survenir selon une "synchronicité" hallucinante et déroutante. Un peu comme si chaque jour, tout ce qui se manifestait dans ma réalité avait été créé uniquement pour servir de support à l'évolution du manuscrit et de moi-même. Parfois, je me demandais si j'écrivais ce que j'avais vécu ou si je vivais ce que j'avais écrit. Je crois bien que les deux se soient produits, car tout semblait inextricablement relié, passé, présent et futur.
Sylvain
On ne saurait par quel bout commencer. La vastitude de cette émotion suprême suggère une éternité pour l'appréhender et une autre pour la vivre pleinement. En soit, cette histoire est une parcelle d'éternité, un sentier vers l'Univers : l'Uni vers l'Uni vers l'Uni… Une boucle spiralée sans fin où tout est lié à tout.
Comment résumer l'Éternité en un seul mot?
C'est bien plus qu'un simple mot, bien plus que tout ce qu'un univers de mots ne saurait suggérer. C'est plutôt cet espace infini entre deux mots où tout est rendu possible, où tout reste à écrire.
Comment est né ce livre?
Ce livre n'aurait pu voir le jour, si ce n'est de la nuit. Il a été mis au monde dans la chambre de mes visions intérieures. Bien avant l'aube, durant 280 jours, je fus inondé d'images, d'émotions et de sensations aussi réelles qu'insensées qui me permirent d'accoucher de moi-même. Ainsi est né ce livre.
Quand cette langue de Feu s'est mise à brûler en moi, je ne faisais plus qu'écrire des mots. Je m'écrivais à moi-même chaque jour, lettre par lettre. L'émotion a été le principal vecteur de mon inspiration. Rien n'a été créé ou inventé; tout a été ressenti au plus profond de chacune des cellules de mon être. En cela, cette histoire se veut le sang de mes émotions que ma plume a cherché à canaliser et à épancher sur papier afin d'en recueillir toute l'essence et l'intensité de sa vibration.
Processus d’écriture
Toutes les pages que vous lirez ont été écrites, une ligne à la fois, sans jamais savoir ce que contiendrait la ligne suivante. Dans ce processus d'écriture spontanée, aucune planification calculée, aucune préméditation ou orchestration n'a été nécessaire pour arriver à concevoir une histoire qui a son sens propre. Tout coulait de source, sans que j'aie à intervenir, soit pour en changer le cours ou en modifier le débit. Je ne faisais que puiser l'eau inspirante à la fontaine de mes visions et de mon propre quotidien.
Tous les événements et les rencontres vécus pendant le processus d'écriture semblaient survenir selon une "synchronicité" hallucinante et déroutante. Un peu comme si chaque jour, tout ce qui se manifestait dans ma réalité avait été créé uniquement pour servir de support à l'évolution du manuscrit et de moi-même. Parfois, je me demandais si j'écrivais ce que j'avais vécu ou si je vivais ce que j'avais écrit. Je crois bien que les deux se soient produits, car tout semblait inextricablement relié, passé, présent et futur.
Sylvain
Extrait du livre
Un jour peut-être…
Lorsque la brume évanescente
De ton âme fluide
S’élèvera dans le ciel
Pour enlacer mes hautes cimes
Nous fusionnerons
Rivière et Montagne
En un seul élément
Par notre amour
Un nous serons
Pour l’Éternité
Toujours je serai là…
À tes côtés
En ton dedans
Comme en dehors
Dans les hauts
Comme dans les bas
Toujours je serai là…
Si près de toi
Si près de moi
Himalaya
Ses petits yeux noisette semblaient émergés des brumes de l'au-delà. Elle me vit et sourit d’un sourire qui resta éternellement gravé dans ma mémoire. Nous nous étions retrouvés. Elle était ma destination. J’étais rendu au bout de mon chemin. J’étais rentré chez moi, peu importe où nous serions. Notre chez-nous serait dans cet endroit sacré où deux cœurs se rencontrent et fusionnent. Un endroit sans limites, sans frontières et sans temps. Je la pris dans mes bras et nous retournâmes dans ce lieu intemporel, creuset de notre alliance éternelle. Elle se rendormit. J’allai la rejoindre.
Une si grandiose histoire d’amour ne pouvait se terminer sans une vraie fin, aussi belle et déchirante fût-elle, mais au moins une fin. C'était comme si l’histoire s’était arrêtée nette, n’ayant plus aucun chapitre à offrir, pas même l’inspiration d’une dernière étreinte pour satisfaire son cœur, en guise d’au revoir, pour toutes ces années intenses vécues ensemble. Telle une fiche retirée de sa prise, le courant et la magie s'étaient envolés, il n’y avait plus aucun moyen de se rebrancher. Un court-circuit du cœur qui amène dans son sillage la plus grande des noirceurs, un abîme sans fond qui glace le sang. L'amour de sa vie était parti… cette fois-ci pour de vrai. C’était inconcevable.
Arrivé à sa hauteur, je n’osai briser la magie de ces instants qui relient et séparent les cœurs. Oui, cette magie! Cette intensité magique quand les cœurs se retrouvent et cette intensité tragique quand ils doivent se séparer. Cette magie du début, cette magie de la fin. L’Alpha et l’Omega. Pourquoi ne pourrait-il pas en être ainsi entre les deux extrêmes?
La magie du moment éternellement présente.
Il n’y a pas de véritable adieu, que des pauses. Croire aux adieux serait ne pas croire aux retrouvailles. On retrouve toujours ceux que l'on a aimés. Entre nous sont tissés des filaments dans le cristal de la vie. Lorsqu’ils se mettent à vibrer au même diapason, les cœurs chantent alors la même note et se retrouvent, où qu’ils soient. La vie est une grande toile où chacun d’entre nous est relié à chacun.
À la première occasion, je me suis enrôlé dans les Armées du Pharaon pour prendre part à la grande expédition, espérant oublier, guérir ou mourir. Alors voilà, rien de tout cela ne s’est vraiment produit. Je n'ai pu oublier, ni guérir, ni mourir. Je suis demeuré blessé. Aujourd'hui, la vie m’a ramené vers toi. Ou est-ce peut-être l’inverse? Toi me ramenant à la vie!
Je l’aimais tellement. Qu’avais-je donc fait? Je voulus qu’il n’y ait pas de fin. Je voulus qu’elle sache que je l’aimais plus que tout au monde. Que je l’aimais pour la vie et par-delà l’éternité! J’invoquai donc les Grands Esprits et leur demandai de transmettre mon message à Belle Rivière. Ce serait le plus beau des messages. Ce serait ma dernière œuvre, mon dernier cadeau du cœur. Puisse-t-elle un jour l’entendre et en ressentir toute la portée, tout l’amour qui l’a fait naître. C’est de notre histoire dont il s’agit Riviera et elle survivra à la mort, je t’en fais la promesse... Ainsi, mon cœur récita notre hymne.
Je réalisai que l’expérience de l’amour laissait toujours une trace indélébile dans le fond de notre âme. Elle pénétrait la chair, s’infiltrait dans le cœur, se diffusait dans le sang et s’inscrivait dans nos cellules, dans nos gênes, au cœur même de notre ADN. C’était l’amour qui nous faisait toujours avancer et aller plus loin. C’était par lui que tout prenait un sens et c’est aussi par lui que tout semblait perdre son sens.
Une si grandiose histoire d’amour ne pouvait se terminer sans une vraie fin, aussi belle et déchirante fût-elle, mais au moins une fin. C'était comme si l’histoire s’était arrêtée nette, n’ayant plus aucun chapitre à offrir, pas même l’inspiration d’une dernière étreinte pour satisfaire son cœur, en guise d’au revoir, pour toutes ces années intenses vécues ensemble. Telle une fiche retirée de sa prise, le courant et la magie s'étaient envolés, il n’y avait plus aucun moyen de se rebrancher. Un court-circuit du cœur qui amène dans son sillage la plus grande des noirceurs, un abîme sans fond qui glace le sang. L'amour de sa vie était parti… cette fois-ci pour de vrai. C’était inconcevable.
Arrivé à sa hauteur, je n’osai briser la magie de ces instants qui relient et séparent les cœurs. Oui, cette magie! Cette intensité magique quand les cœurs se retrouvent et cette intensité tragique quand ils doivent se séparer. Cette magie du début, cette magie de la fin. L’Alpha et l’Omega. Pourquoi ne pourrait-il pas en être ainsi entre les deux extrêmes?
La magie du moment éternellement présente.
Il n’y a pas de véritable adieu, que des pauses. Croire aux adieux serait ne pas croire aux retrouvailles. On retrouve toujours ceux que l'on a aimés. Entre nous sont tissés des filaments dans le cristal de la vie. Lorsqu’ils se mettent à vibrer au même diapason, les cœurs chantent alors la même note et se retrouvent, où qu’ils soient. La vie est une grande toile où chacun d’entre nous est relié à chacun.
À la première occasion, je me suis enrôlé dans les Armées du Pharaon pour prendre part à la grande expédition, espérant oublier, guérir ou mourir. Alors voilà, rien de tout cela ne s’est vraiment produit. Je n'ai pu oublier, ni guérir, ni mourir. Je suis demeuré blessé. Aujourd'hui, la vie m’a ramené vers toi. Ou est-ce peut-être l’inverse? Toi me ramenant à la vie!
Je l’aimais tellement. Qu’avais-je donc fait? Je voulus qu’il n’y ait pas de fin. Je voulus qu’elle sache que je l’aimais plus que tout au monde. Que je l’aimais pour la vie et par-delà l’éternité! J’invoquai donc les Grands Esprits et leur demandai de transmettre mon message à Belle Rivière. Ce serait le plus beau des messages. Ce serait ma dernière œuvre, mon dernier cadeau du cœur. Puisse-t-elle un jour l’entendre et en ressentir toute la portée, tout l’amour qui l’a fait naître. C’est de notre histoire dont il s’agit Riviera et elle survivra à la mort, je t’en fais la promesse... Ainsi, mon cœur récita notre hymne.
Je réalisai que l’expérience de l’amour laissait toujours une trace indélébile dans le fond de notre âme. Elle pénétrait la chair, s’infiltrait dans le cœur, se diffusait dans le sang et s’inscrivait dans nos cellules, dans nos gênes, au cœur même de notre ADN. C’était l’amour qui nous faisait toujours avancer et aller plus loin. C’était par lui que tout prenait un sens et c’est aussi par lui que tout semblait perdre son sens.